Faouzia Zebdi-Ghorab

Respect de la transcendance et Intelligence historique du présent

Méditations intimes (suite)

Description de l’ouvrage

Ces Méditations intimes sont l’itinéraire d’un cœur qui, en cheminant à travers les récits coraniques et leur portée symbolique et métaphorique, cherche à trouver la voie d’un cœur aimant donc aimable et d’un esprit apaisé parce qu’il aura goûté à la saveur du savoir. Le cœur, au fur et à mesure qu’il tisse des liens de compréhension et d’interconnexion intellectuelle et psychologique avec le texte divin, réalise que la paix intérieure se saisit, se cultive et se vit à travers la connaissance de ce qui fait qu’il est ce qu’il est. Il comprend enfin que le bonheur ultime réside dans l’acceptation inconditionnelle de Celui qui Est ce qu’il Est, et dans la remise totale et confiante en Sa Miséricorde, en Sa Sagesse, en Son Décret et en Sa Justice…

L’auteure a su tisser un récit cohérent et captivant où se mêle foi, raison et émotion. La communauté musulmane doit lire et écrire pour promouvoir ses idées et faire émerger ses élites car la parole est divine elle n’est pas chose ou objet d’ornement : elle est provocation et incitation à la réflexion, à la méditation, à la mise en place de passerelles avec d’autres idées, d’autres significations, d’autres personnes et d’autres combats. En déversant son cœur dans le nôtre, elle réalise l’impensable qui nous est caché ou interdit : se réapproprier le sens coranique. Plus le Coran est approprié socialement comme méditation plus son verbe reprend sa force de persuasion, sa méthodologie d’analyse et son emprise morale, religieuse et idéologique dans l’existence sociale, culturelle, politique et économique. Plus le Coran est réapproprié socialement et plus le savant Musulman s’élève à sa vocation véritable : faire de l’Ijtihad dans un monde complexe dont la compréhension sollicite le retour à : « Lis ! Lis au Nom de ton Seigneur ! ».

Faouzia Zebdi-Ghorab a tissé un récit cohérent et captivant où se mêle foi, raison et émotion. La communauté musulmane doit lire et écrire pour promouvoir ses idées et faire émerger ses élites car la parole est divine elle n’est pas chose ou objet d’ornement : elle est provocation et incitation à la réflexion, à la méditation, à la mise en place de passerelles avec d’autres idées, d’autres significations, d’autres personnes et d’autres combats.

Faouzia, en déversant son cœur dans le nôtre, a réalisé l’impensable qui nous est caché ou interdit : se réapproprier le sens coranique. Plus le Coran est approprié socialement comme méditation plus son verbe reprend sa force de persuasion, sa méthodologie d’analyse et son emprise morale, religieuse et idéologique dans l’existence sociale, culturelle, politique et économique. Plus le Coran est réapproprié socialement et plus le savant Musulman s’élève à sa vocation véritable : faire de l’Ijtihad dans un monde complexe dont la compréhension sollicite le retour à : « Lis ! Lis au Nom de ton Seigneur ! ».

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